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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 04:21

 

 

FH 0720

 

 

Avec près de 200 000 adhérents, le PS est le premier parti de gauche. Engagé pour la justice, la solidarité, les libertés, le PS agit au service du progrès social. Démocratique et décentralisé, il permet à chacun d'agir et de s'exprimer en son sein.

 

 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 02:02

 

EN-depeche-30-1-12.jpg

 

Trois syndicats d'enseignants appellent à la grève mardi contre l'évaluation des professeurs par les chefs d'établissement et la suppression de 14 000 postes à la rentrée prochaine.


Seuls le Snes-FSU, FO et le Snalc appellent à "une journée de grève nationale". En revanche, le Sgen-CFDT et le SE-Unsa, dits réformistes, demandent aux enseignants d'assurer leurs cours. La mobilisation devrait toucher essentiellement les collèges et les lycées.


Le projet de réforme de l'évaluation, supposé entré en vigueur à la rentrée 2012, est resssenti avec d'avantage d'acuité dans le secondaire où l'évaluateur deviendrait le chef d'établissement, à l'occasion d'un entretien tous les trois ans qui déterminerait l'évaluation du salaire. Jusqu'à présent, les enseignants du secondaire avaient une double notation, administrative par le chef de l'établissement, et pédagogique, la plus importante pour la carrière, par l'inspecteur régional, formé dans la discipline des collègues qu'il inspecte.


Jeudi, la Société des agrégés a apporté son soutien à la grève, la jugeant "légitime". Selon elle, "les professeurs ne refusent pas d'être évalués: ils veulent une évaluation juste et équitable de la qualité et de l'efficacité de leur enseignement, effectuée par des personnes compétentes". La double notation actuelle "peut être améliorée par la mise en place de mesures garantissant notamment la régularité des inspections sur tout le territoire et la possibilité pour un professeur de faire appel d'une inspection et de présenter son point de vue", estime-t-elle.

 


14 000 postes en moins

 

L'autre sujet de la mobilisation des syndicats est la suppression dès la rentrée prochaine de 14 000 postes, dont 6 550 en collège et lycée, 5 700 en primaire. Parmi ces derniers, 2 500 postes "Rased" seront supprimés, alors qu'ils sont sensés lutter contre l'échec scolaire. Le SNUipp a lancé "un appel national" à "101 grèves et manifestations" contre les suppressions de postes, au cours des semaines qui viennent dans les 101 départements de métropole et d'outre-mer, "avec un temps fort passant par la manifestation nationale et la grève du 31 janvier partout où c'est possible". "Ces nouvelles coupes claires sont inacceptables (...) La lutte contre l'échec scolaire sera de plus en plus difficile à mener", selon le SNUipp. "Certains départements seront en grève, d'autres non", a précisé le secrétaire général, Sébastien Sihr. Un appel à la grève a été lancé à Paris.


2 490 élèves supplémentaires sont prévus à la rentrée prochaine, selon le ministère de l'Education nationale.

 

 

Article "www.ladepeche.fr" du 30-1-12

 


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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 03:51


vie syndicale

« À la rentrée 2012, 30 emplois seront supprimés dans les Hautes-Pyrénées », dénonçait, hier, au micro, Jean Rodriguez (Unsa) qui s'est exprimé au nom de l'intersyndicale (1) en appelant à la mobilisation générale pour l'Éducation nationale. Environ 260 manifestants (selon la police) se sont rendus place de la mairie avant de se réunir devant l'inspection d'académie où doit se dérouler, ce matin, le CTS (Comité technique spécial 1er degré).

Contestant ce qu'elle appelle « une politique destructrice », l'intersyndicale exprime de nombreuses craintes : « Pour le 1er degré, ces mesures se traduiront, en septembre prochain, par la désintégration des Rased, des fermetures de classes, des effectifs encore plus lourds à tous les niveaux ».

Et d'évoquer aussi des remplacements encore plus mal assurés, des difficultés pour scolariser les enfants de 2 ans et « le point final à l'aide pédagogique pour l'enseignement des langues vivantes étrangères ».

Dans les lycées professionnels, on parle de casse engendrée par la réforme du bac pro : « Après 13 suppressions l'an dernier, ce sont à nouveau 4 postes qui seront supprimés à la rentrée prochaine ».

Les syndicats constatent, par ailleurs, que les conditions de travail des agents administratifs se dégradent. « Face à cette attaque de destruction massive du système éducatif, il est temps de décréter une mobilisation générale », estiment-ils.

(1) CGT, FSU, SGEN CFDT, Unsa Éducation, FCPE, avec le soutien de l'UD-CFDT, de l'UD-CGT, la Ligue de l'enseignement, l'OCCE, la PEP, l'Apsy en 65, le collectif de défense du service public Éducation 65.


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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 07:40

 

 

STOP aux suppressions de postes dans l'Education Nationale, quelles soient d'enseignants, d'administratifs ou de cadres !

STOP à l'attaque des RASED !

STOP à cette gestion comptable, qui met en jeu l'avenir de nos jeunes et de notre pays !

Toujours les même demandes, toujours non entendues par le gouvernement...

 

Voir les articles  article du 18/2/11 ou article du 6/9/11...

 

 

 

 

Les élus se mobilisent

Article "www.ledepeche" du 24/1/12 par C.V


JCP-Chantal-Depeche-24-2-12.jpg


Au nom des élus du conseil général, Chantal Robin-Rodrigo et Jean-Claude Palmade lancent un appel à tous les élus :

« Nous devons tous nous mobiliser et être aux côtés des syndicats pour la manifestation contre cette nouvelle saignée, qui démontre la politique scolaire aveugle et dévastatrice du gouvernement, pas seulement les élus des 30 communes dont les écoles sont dites à « effectif fragile », mais tous ensemble », a lancé Jean-Claude Palmade.

 

La députée des Hautes-Pyrénées lui a emboîté le pas : « Depuis 2007, 70.000 postes ont été supprimés dans l'Éducation nationale, c'est inadmissible, car moins d'enseignants, c'est davantage de classes surchargées. Je reprends ce qu'a dit François Hollande lors de son meeting, il considère que l'éducation est un enjeu national, c'est ressenti comme un espoir par l'ensemble des parents d'élèves.

 

D'autre part, l'Anem s'est procuré une circulaire du ministère qui précise qu'en zone de montagne, avant de fermer une classe, il faut en mesurer l'impact, notamment sur les temps de transport, et tenir compte des aléas climatiques. Je suis consciente que cela implique davantage de fermetures en milieu urbain…

 

C'est pour ça que nous devons nous mobiliser massivement ! »

 


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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 09:17

Lors des voeux au militants PS de la Fédération des Hautes Pyrénées, jeudi 18/1/2012, militants et responsables politiques ont montré qu'ils sont prêts à apporter tout leur soutien pour faire gagner François HOLLANDE, le candidat du PS, lors de la présidentielles de 2012.

RP Fede Voeux 2012

Alain PIASER a présenté ses voeux 2012, il a précisé que cette année 2012 sera cruciale pour nous, particulièrement au printemps. 2011 a été une bonne année, avec la victoire aux cantonales au niveau national, la réussite des Primaires, la victoire au Sénat avec la Présidence PS du Sénat, avec Jean-Pierre BELL. 

Convaincu et convainquant il croit que 2012 sera une belle année pour le PS mais la la victoire ne viendra pas seule, il faudra aller la chercher.

 

Puis l'intervention de Josette DURRIEU toujours aussi dynamique et combative pour mobiliser les militants et au-delà. Elle a mis sa force de conviction en complément de l'intervention d'Alain PIASER pour dire à quel point cette victoire de la gauche à la présidentielle de 2012 est possible. Il faut y croire et tout faire pour l'obtenir dans les urnes au printemps 2012. "La force est en nous, nous ne devons pas douter, avoir confiance"

 

Se sont ensuite succédées les interventions de Pierre FORGUES et Jean GLAVANY. Ils ont rajouté combien il est important que la volonté des militants et sympathisants de Gauche soit présente pour faire gagner François Hollande. Seule la mobilisation sur le terrain permettra de gagner.

PS-Voeux-2012-salle.jpg

Effectivement, les militants lors des discussions post-interventions des élus, n'avaient de cesse de dire à quel point cette France actuelle nous parait éloignée du principe d'égalité, si cher à la gauche, que de nombreux français en ont assez de la "France des privilèges" qui se dessine depuis plusieurs années...

 

JBC Voeux 2012

 

 

 

 

 

PS "On gagnera en 2012 si on en a la volonté"

 

PS-Voeux-2012-FEDE-Depeche-20-1-12.jpg

Il flottait jeudi soir, à la fédération du PS 65, comme une odeur de veillée d'armes. C'est que 2012 sera une année particulière… « Je souhaite que l'année soit belle », a entamé Alain Piaser, le premier secrétaire fédéral, « surtout le printemps », faisant référence à l'échéance présidentielle. « Mais il ne faut pas oublier d'où on vient, et se souvenir que 2011 a été une bonne année, avec la victoire aux cantonales, même si nous avons perdu la présidence du conseil général. Et puis, il y a eu le succès aux sénatoriales, grâce auquel nous avons conquis la présidence du Sénat, ce qui n'est pas rien. Enfin, nous avons aussi réussi nos primaires. Il y a une dynamique et je dois bien le dire, ça ne se présente pas trop mal pour 2012, même si pour l'heure la campagne n'est pas encore lancée. Il va désormais falloir dynamiser ce début de campagne pour transformer l'espoir de changement que porte la candidature de François Hollande. Mais la victoire ne viendra pas seule, il faudra aller la chercher. »

Un discours que les militants présents, visiblement pressés d'en découdre, ont apprécié. « La force est en nous, nous ne devons pas douter, avoir confiance », a martelé Josette Durrieu, tandis que Pierre Forgues et Jean Glavany, les deux députés PS des Hautes-Pyrénées, ont axé leur intervention sur la volonté. « La confiance, oui, mais il faut aussi et surtout la volonté de gagner. Il faut gagner en 2012, ne serait-ce que pour réparer la France, et on ne gagnera qu'à une seule condition, celle de faire le match, même si les conditions du succès n'ont jamais été aussi favorables. » Une manière de rappeler, si besoin était, à des militants déjà échaudés par le passé, que la victoire n'est jamais acquise. Et surtout pas dans les sondages…

Site "ladepeche.fr" du 21/01/12

 

 

 

Vœux au PS : les militants impatients d’entrer en campagne

Jeudi soir, les militants et les élus socialistes étaient nombreux pour la cérémonie des vœux. En cette année électorale de première importance, le PS entend rafler la mise aux présidentielles et législatives. Alain Piaser, premier secrétaire fédéral et Jean Glavany, député et candidat dans la 1e circonscription ont répondu à nos questions.

 

DIAPORAMA

 

 

 

A-PIASER-tarbes-infos-21-1-12.jpg

Cliquer sur la photo pour être dirigé sur le site "Tarbes-nfos"

 

 

Glavany-tarbes-infos-21-1-12.jpg

Cliquer sur la photo pour être dirigé sur le site "Tarbes-nfos"

 

 

Site "tarbes-infos" du 21/1/2012

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 09:13

 

 

11.jpg

C'est la première dans l'histoire de la 5° République.

La Gauche est majoritaire au Sénat. Photo DDM

 

La victoire est historique. Les socialistes n'ont cessé de le rappeler hier soir. Pour la première fois, la gauche a remporté la majorité au Sénat. Sans même attendre le résultat des Antilles dans la nuit, les jeux étaient faits vers 18 h 30 au terme d'un scrutin qui est resté incertain tout l'après-midi. « Pour la première fois, le Sénat connaît l'alternance », a déclaré, très ému, le patron des sénateurs PS, Jean-Pierre Bel. Alors que tous les résultats n'étaient pas encore parvenus, il a annoncé que la gauche avait déjà « 175 sénateurs», et avait donc conquis les 23 sièges supplémentaires lui permettant d'obtenir la majorité absolue. Avec 10 élus (4 auparavant), les écologistes ont également progressé et pourraient créer leur propre groupe.

À sept mois de la présidentielle, cette défaite de la droite est un nouveau coup de semonce pour Nicolas Sarkozy. D'autant que l'élection des dissidents de l'UMP comme Charron à Paris et Gautier dans les Hauts-de-Seine constitue un camouflet cinglant pour le Président. François Hollande, candidat à la primaire PS, a vu dans la défaite de la droite « une décomposition du système Sarkozy », « prémonitoire » pour 2012. « La gauche en rêvait, Sarkozy l'a fait », ironisait un membre d'un cabinet ministériel en évoquant la victoire de l'opposition. Dans de nombreux départements, la poussée de la gauche est incontestable. Au-delà de la conséquence logique de ses victoires lors des élections locales depuis 2007, elle marque un rejet du parti présidentiel. La droite a perdu des départements qu'elle détenait depuis pratiquement toujours comme la Lozère. Elle a pâti de ses nombreuses divisions et d'une forte grogne des élus locaux qui ont mal accueilli la réforme territoriale et le regroupement des communes menés à marche forcée par les préfets.

Deux ministres ont été élus (Gérard Longuet et Chantal Jouanno), un autre, Maurice Leroy a été battu. Les deux premiers devront absolument quitter leur fonction gouvernementale s'ils veulent accroître les chances de succès de Gérard Larcher à la présidence du Sénat. Sarkozy devrait donc procéder à un mini-remaniement gouvernemental dans les prochains jours, au moins pour remplacer Longuet à la Défense.

Le dernier acte de ces sénatoriales se déroulera samedi avec l'élection du président. Le socialiste Bel fait figure de favori, mais Larcher n'a pas dit son dernier mot.

 

Nouveau-Senat-2011.jpg

 

Présidence : le duel Larcher-Bel

Larcher-Bel, c'est le duel auquel on devrait assister samedi pour la présidence du Sénat. En quelque sorte le troisième tour de scrutin. Il sera tout aussi disputé que ceux des grands électeurs. Gérard Larcher l'a annoncé immédiatement après avoir enregistré la défaite de la droite : il sera candidat à sa réélection à la tête de la Haute Assemblée. Théoriquement, il devrait être battu en raison du nouveau rapport de forces qui s'est instauré depuis hier soir. Mais au Sénat, la logique arithmétique n'équivaut pas toujours à la logique politique car les relations personnelles et le poids des partis charnières jouent un rôle plus important qu'à l'Assemblée. « La majorité sénatoriale est plus large que la majorité partisane », affirme Jean-Pierre Raffarin. En clair, Gérard Larcher serait en mesure de braconner des voix au-delà des terres de l'UMP et des centristes pour conserver sa présidence. C'est ce que veut croire la droite. En fait, il ne lui reste pas d'autre argument auquel se raccrocher pour espérer sauver le soldat Larcher et, par là même, la présidence. Autant dire que les tractations seront âpres toute cette semaine dans les couloirs du Sénat alors que la droite a montré qu'elle était affaiblie.

Désormais, c'est l'Ariégeois Jean-Pierre Bel qui part favori pour la présidence du Sénat. Président du groupe socialiste, il est le candidat naturel de son parti et devrait rallier à lui les suffrages de l'ensemble de l'opposition qui ne devrait pas laisser passer cette occasion historique de faire basculer totalement le Sénat à gauche. Bel devra donc discuter tout au long de cette semaine avec les partenaires du PS, à savoir les Verts, le PC et le RDSE qui groupe les radicaux de gauche entre autres. Mais il pourrait voir se dresser parmi les rangs sénatoriaux socialistes une candidature rivale. Catherine Tasca, ancienne ministre de la Communication, n'a pas manqué ces derniers temps d'affirmer de telles ambitions. Bref, c'est une semaine sous pression que devrait vivre le Sénat jusqu'à samedi. Et l'on n'est pas à l'abri d'un nouveau rebondissement, même s'il semble difficile à Larcher de renverser la vapeur.

J.-P. B.


L'Ariégeois au pied du plateau

A 60 ans, cet élu ariégeois est en passe de devenir président du Sénat. Issu d'une famille tarnaise de Lavaur ancrée à gauche, il abandonne son parcours universitaire en 1978 pour suivre son épouse en Ariège, dans le canton de Quérigut. En 1983, il devient maire de Mijanès alors que son beau-père, Robert Naudy, est conseiller général de Quérigut (1975-85). En 1986, Jean-Pierre Bel rejoint le cabinet de son beau-père devenu président du Conseil général de l'Ariège. Il y est chargé des affaires juridiques et de la communication.

En mars 1998, il enlève le canton de Lavelanet dont il sera maire le temps d'un mandat. Il prend du galon au PS dont il est le secrétaire national aux fédérations de 1994 à 1997 puis, de 1997 à 2000 aux élections. Élu sénateur de l'Ariège en 1998, il entre au bureau du Sénat en 2001. Il y est l'un des quatorze secrétaires.

Élu à la présidence du groupe socialiste en septembre 2004 à la suite de Claude Estier qui ne se représentait pas, il est reconduit en en 2008. Élection facilitée par son appartenance au courant Hollande largement majoritaire parmi les sénateurs. Habile à la manœuvre, il « aime déléguer » et l'on parle volontiers au palais du Luxembourg de « la bande à Bel », largement constituée de sénateurs du Sud-Ouest. Père de trois filles dont deux issues de son premier mariage, il prend soin de sa ligne, se montre affable et réservé mais manifestait hier sa joie sans retenue. F.C

 

Site de La depêche du Midi, du 26/9/2011


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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 13:11

Oui, on a eu raison de soutenir au niveau régional, départemental et sur le Plateau, de façon aussi massive l'élection de Martin MALVY avec 67,77% des suffrages !

Martin Malvy Region

 

On a eu raison de lui faire confiance ainsi qu'aux candidats de sa liste sur notre département, liste conduite par Bernard Plano qui l'a emporté avec 76,53% des suffrages à Lannemezan et 76,14% sur le canton et 70% sur le département !

 

Elus 0415

De nouvelles preuves que ce résultat était bien mérité. En effet, 2 études notent la Région Midi-Pyrénées en termes d’endettement et d’investissement en tant que la région la moins endettée de France, et la 2ème Région française qui investit le plus.

- L'agence de notation Fitch Ratings pour le Ministère des Finances a attribué la première place à notre région en tant région la moins endettée. Quand, en moyenne, les 22 régions métropolitaines mettront 3,8 ans à rembourser la dette de 2010, Midi-Pyrénées y mettra à peine plus d'un an.

- L'Observatoire en statistiques et finances locales a classé midi-Pyrénées, en 2° position pour son effort d'investissement avec 192 euros par habitant en 2010 derrière la Haute-Normandie avec 203 euros, 192 € par habitant, contre 147 € en moyenne nationale(2010, hors Ile-de-France et Corse)..

Voir le détail sur le site de Martin Malvy

 

Quelles meilleures preuves de sa très bonne gestion régionale ?

 

 

Les déficits explosent quand la Droite gouverne ! C’est ça la réalité.

Site de Martin Malvy | 11 août 2011

"Nicolas Sarkozy est le plus mal placé pour faire la leçon à la Gauche sur les déficits publics ! Il a été mon successeur à Bercy en 1993. Lorsque je lui ai remis les clés du ministère du Budget, nous avions réussi à contenir la dette, malgré la première récession depuis la Libération. Elle était de 440 Mds d’€. Pendant les deux années pendant lesquelles il y resta, elle explosa pour atteindre 662 Mds d’€. Et si l’on regarde aujourd’hui le bilan provisoire de sa présidence, la dette a alors connu la plus forte et la plus longue progression de notre histoire en se situant désormais au niveau record de 1 646 Mds d’€.

Le chantage à la règle d’or, à neuf mois des présidentielles, est surréaliste ! D’autant qu’il y a une règle d’airain, qu’on oublie trop souvent de rappeler : les déficits explosent quand la Droite gouverne ! C’est ça la réalité. Depuis 1993, la seule période pendant laquelle la dette a diminué en pourcentage du PIB est celle du Gouvernement Jospin. La Gauche avait alors ramené le niveau de la dette de 59.3 à 57.3% du PIB, et le déficit public de –3.3 à –1.4%. Dernière année de gouvernement de Gauche, 2001 : 839 Mds d’€ de dette et un déficit public de 20,3 Mds d’€. Dernière année pleine de gouvernement de Nicolas Sarkozy, 2010 : 1591 Mds d’€ de dette et un déficit public de 136,5 Mds d’€. Allez chercher qui a creusé le trou…

Je n’irais pas pour autant jusqu’à proposer qu’on inscrive comme règle d’or dans la Constitution que, dans l’intérêt des finances publiques, le Gouvernement de la République doit toujours être confié à la Gauche. Mais je pense quand même qu’il a y une certaine indécence de la Droite à se poser en donneuse de leçon…"

 

 

L'élection présidentielle s'approche et  les socialistes pourront montrer leurs talents de gestionnaires au niveau national !

 

 

 

 

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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 17:34

 

 

Je vous conseille vivement la lecture du livre de Pierre Moscovici : "Défaite interdite, un plaidoyer pour une gauche au rendez-vous de l'histoire".

 

Il fait un état des lieux de la gauche française, les défaites de 2002 et 2007, un bilan de la politique menée par N. Sarkosy...

 

Après un retour historique sur le passé de la Vième République, celui du PS et aussi le sien, il aborde tous les sujets fiscalité, environnement, affaires étrangères... il développe plus particulièrement l'Europe et pointe plus des domaines dont la Gauche devrait se saisir dont l'insécurité, l'immigration...

 

Il démontre que la gauche, que le PS doit sortir de l'immobilisme et de l'autosatisfaction pour être présent et gagner en mai 2012 !

 

Et je retiendrai aussi l'importance qu'il accorde ce que la Gauche soit fidèle à ses valeurs et d'avoir une équipe autour du(de la) candidat-e, un programme, une crédibilité collective et personnelle ! Et j'adhère complètement à ces propos !

 

Effectivement, je suis d'accord pour constater que nos concitoyens en ont asssez de la politique menée par Nicolas SARKOSY, mais ça ne suffit pas! Nous devons nous mettre en position de gagner !

 

Nous ne devons pas une fois de plus faire preuve de divisions, mais  considérer l'intérêt général comme prioritaire afin de ne pas perdre. Militants, sympathisants et nos concitoyens ne le supporteraient pas ! 

 


 

 

P-Moscovici-Defaite-interdite.jpg

 

 


Dans un an, les Français éliront le septième président de la Ve République. Le rejet de la politique de Nicolas Sarkozy, de son style, de sa pratique peu républicaine est violent : le temps de l’alternance semble venu. Et pourtant la gauche ne convainc pas, suscite encore le doute, voire le scepticisme. De fait, le Parti socialiste est dans l’opposition depuis 2002 et l’élimination de Lionel Jospin par Jean-Marie Le Pen. Sa victoire en 2012 paraît possible mais pas certaine pour autant. Y aurait-il dès lors une sorte de « malédiction » de la gauche ? En tout cas, elle a raté tous ses rendez-vous avec l’histoire depuis dix ans. L’échéance qui vient est donc décisive pour le pays, existentielle pour la gauche : il s’agit pour elle de vaincre ou de s’effacer.


 

Pour gagner en 2012 – et réussir à gouverner durablement en transformant la société –, la gauche doit enfin sortir de l’immobilisme et de l’autosatisfaction. Que s’est-il vraiment passé le 21 avril 2002 ? Pourquoi la gauche s’est-elle divisée sur l’Europe ? Comment a-t-elle laissé élire Nicolas Sarkozy en 2007 ? Que penser de la poussée de l’extrême-droite ? Ces questions n’ont jamais trouvé de réponses. Il est temps de saisir ce qui n’a pas fonctionné, et de faire enfin le choix d’une social-démocratie du xxisiècle, moderne, écologiste et européenne. C’est indispensable pour concevoir le projet d’une gauche capable de recréer la confiance, de répondre à la crise que traverse la France. Et c’est ce que cet ouvrage de Pierre Moscovici, avec minutie et passion, met en avant.


Pour commander le livre en ligne, cliquez sur le lien suivant :

http://editions.flammarion.com/Albums_Detail.cfm?ID=40347&levelCode=sciences

 

 

Site de Pierre Moscovici, 4/5/2011

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 18:43

 

 

Il est revenu lors du point presse sur l'unité du parti durant tout le week-end, à l'encontre des attaques de Jean-François Copé au grand jury RTL. Benoît Hamon a opposé à l'unité des socialistes, l'impossibilité d'union au sein de la droite.

La Rochelle s’est bien passée. Nous avons eu un moment d’unité. "Cette image d’unité, elle est impossible à l’UMP, ils ne la réussiront ni à Nice ni à Marseille. Impossible de réunir Monsieur Bertrand, Monsieur Copé, Monsieur Fillon ensemble. »

« Le souvenir que je garde de la Rochelle, c’est celle d’une compétition et elle aura lieu et forcément, comme dans toute compétitions il y a des moments de différenciation mais pendant trois jours, vous avez eu 5000 militants, autant d’occasion de mesurer si le climat était à l’invective, aux huées. Ca n’a jamais été le cas. Dans aucune des tables rondes, pas dans un seul atelier, dans aucune séance plénière. Il y aura des moments de débats francs, mais l’unité n’est pas factice, elle se réalisera au lendemain même des primaires et que si Monsieur Copé était capable de réaliser l’équivalent, qu’il le fasse. »

Pour préparer le changement en 2012, on a besoin de vous !

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 19:15

 

Ouvrant cette nouvelle plénière, Pierre Moscovici a défendu le modèle d’une croissance « de long terme », autour de 4 axes : sobriété, émergence d’une fiscalité écologique, un programme d’investissements industriels mettant le développement durable en son coeur, et, devant le scandale de la précarité énergétique, une nouvelle tarification de l'électricité et du gaz. C’est selon lui faire acte de responsabilité que de défendre ce projet économique.

Pour Jean Paul Fitoussi, le développement ne sera cependant durable que s'il est partagé. Un projet économique doit donc permettre de se projeter dans le futur, et veiller au capital que nous léguerons aux générations futures.



Une démarche qui nécessite certes de l'altruisme, mais ne relève pas, selon lui, de l’utopie. A condition de mettre un terme aux injustices sociales, qui par les conservatismes qu’elles insinuent, sont un frein au changement.

Revenant sur la situation économique, Valérie Rabault a voulu dénoncer la guerre déclarée par les marchés aux Etats souverains. Or, elle estime que la seule logique de réduction des coûts nous conduira à « mourir pour guérir». Elle préconise en lieu et place le réel retour d'un Etat stratège.

Pour Laurence Rossignol, balayer le concept de décroissance ne suffit pas. Nous devrons également mettre fin à la glorification du consumérisme. La question énergétique et le rôle du nucléaire en France sont ainsi symboliques de cette consommation à outrance.


Des conclusions que partage Guillaume Duval, pour lequel la crise actuelle est tout autant écologique que financière. Il est donc impératif selon lui de ne pas distinguer ces deux facettes d’une même problématique.


Gérard Collomb a par ailleurs estimé les nouveaux besoins étaient collectifs : protection de l'eau, de l'air, soins. Une conception qui doit permettre au long terme de triompher sur le court terme.

Introduisant son propos d’un « nul ne peut tomber amoureux d'un taux de croissance », François Hollande a finalement conclu cette plénière en évoquant son projet économique.
Un projet s’articulant autour de 4 propositions : mettre l'épargne au service de l’investissement durable et redéployer les niches fiscales vers l'emploi, la compétitivité et l'environnement. Remettre l'éducation au cœur du projet économique. Miser sur l'écologie et la nécessité de diversifier nos sources d'énergie, proposant notamment de passer en 15 ans de 75% électricité d’origine nucléaire à 50 %. Dernier levier, enfin, la démocratie, « parce qu'elle est plus intelligente que les marchés » et est seule à garantir des choix acceptés de tous.
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  • : Roger PHAM et vous, échanges d'opinions...
  • : Par ma famille d'accueil j'ai bénéficié des valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité, solidarité... Ce qui explique pourquoi je m'implique au service de mes concitoyens, par mon engagement politique d'Adjoint au Maire de Lannemezan, de conseiller communautaire de la CCPL et membre du Parti Socialiste. Aujourd'hui, je veux partager avec vous, au travers de nos "Echanges d'opinion", ces valeurs et plus particulièrement le besoin de solidarité si nécessaire à notre époque.
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  • Roger PHAM
  • Architecte hospitalier aux Hôpitaux de Lannemezan.
  • Architecte hospitalier aux Hôpitaux de Lannemezan.

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BONNE ANNEE 2012 !

A l'aulne de cette Nouvelle Année je vous présente à vous et à tous vos proches mes meilleurs voeux.

Que 2012 soit porteuse d'espoir, de justice et de partage pour chacun.

Que 2012, par notre mobilisation confirme la victoire de notre "Candidat Président" sur le "Président Candidat" et ouvre une nouvelle ère de justice sociale et de dignité sociale pour tous nos concitoyens.

Et enfin que 2012, soit l'année du changement avec François Hollande !

 

Roger PHAM 

 

 

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